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L’alcoolorexie est un trouble alimentaire qui a gagné en popularité ces dernières années. Il s’agit d’un désordre alimentaire qui se caractérise par une consommation excessive d’alcool et une restriction alimentaire sévère. Si vous êtes à la recherche d’informations sur l’alcoolorexie, vous êtes au bon endroit. Dans cet article, nous allons vous présenter 5 choses que vous devez savoir à propos de l’alcoolorexie et des risques qu’elle peut entraîner. Nous allons également discuter des outils et des ressources qui existent pour aider ceux qui sont aux prises avec ce trouble alimentaire. Alors, sans plus tarder, voici 5 choses à connaître sur l’alcoolorexie.

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En France, le nombre d’associations et de centres contre ce régime s’accroît.

1. Définition

L’alcoolorexie est une forme de perte de poids cyclique qui est due à une diminution des repas associée à une consommation excessive d’alcool.

Généralement ce phénomène touche les femmes, mais de plus en plus de cas masculins sont recensés. Faisons un point aujourd’hui pour vous informer sur ce trouble malsain et vous aider à en sortir.


1. Définition

Ce régime de perte de poids cyclique est causé par une réduction des repas combinée à une consommation excessive d’alcool.

Les femmes sont les premières concernées par ce phénomène, mais il y a de plus en plus de cas masculins signalés. Faisons le point aujourd’hui pour vous informer sur ce désordre et vous aider à le surmonter.


Cette idée provient du monde anglo-saxon (alcoolorexie est la traduction française de drunkorexia en anglais).

Ce phénomène est aussi connu sous le nom d’ébriorexie.

Cette pratique touche principalement les femmes jeunes (moins de 30 ans).

Certaines personnes sautent des repas pour ne pas cumuler les calories de la nourriture et de l’alcool et pour se saouler plus rapidement. D’autres sautent leurs repas pour économiser de l’argent, qu’ils utilisent ensuite pour acheter de l’alcool.


2. Est-ce répandu ?

Une étude publiée dans la revue Australian Psychologist a alerté en 2016 que près de 60 % des étudiantes australiennes ont déjà sauté un repas afin de sentir plus rapidement les effets de l’alcool.


Une étude précédente a montré qu’environ 46 % des femmes âgées de 18 à 24 ans pratiquaient l’alcoolorexie.

Une étude, publiée fin 2011 par l’université du Missouri, inquiétait déjà les spécialistes car elle révélait qu’ « une étudiante américaine sur six saute le repas avant de sortir en soirée ». En France, le phénomène est également de plus en plus courant.

3. Quels sont les risques ?

L’alcoolorexie n’est pas médicalement reconnue, il n’y a donc pas de symptômes officiels. Le premier risque est cependant très simple : devenir alcoolique.L’alcoolorexie implique en effet de boire une très grande quantité d’alcool, l’alcool étant extrêmement addictif, boire de cette manière peut avoir des conséquences effroyables à long terme.

Le simple fait que l’alcool remplace quelque chose dans votre vie (ici la nourriture) est inquiétant. Quand l’alcool prend une telle place dans la vie d’un individu, il y a un réel risque de sombrer et de ne plus pouvoir vivre sans.

On savait déjà qu’une forte consommation d’alcool causait des dommages au cerveau, ce que les scientifiques ont démontré récemment, c’est que si on est en plus à jeun, le cerveau, en situation d’hypoglycémie, est encore plus vulnérable et les comas éthyliques sont plus fréquents et plus graves.

Une étude, publiée fin 2011 par l’université du Missouri, inquiétait déjà les spécialistes car elle révélait qu’ « une étudiante américaine sur six saute le repas avant de sortir en soirée ». En France, le phénomène est également de plus en plus commun.

3. Quels sont les risques ?

L’alcoolorexie n’est pas médicalement reconnue, il n’y a donc pas de symptômes officiels. Le premier danger est cependant très simple : devenir alcoolique.L’alcoolorexie implique en effet de boire une très grande quantité d’alcool, l’alcool étant extrêmement addictif, boire de cette manière peut avoir des conséquences effroyables à long terme.

Le fait que l’alcool remplace quelque chose dans votre vie (ici la nourriture) est inquiétant. Quand l’alcool prend une telle place dans la vie d’un individu, il y a un réel risque de sombrer et de ne plus pouvoir vivre sans.

On savait déjà qu’une forte consommation d’alcool causait des dommages au cerveau, ce que les scientifiques ont démontré récemment, c’est queLes dommages corporels à l’intérieur du cerveau inquiètent les chercheurs car l’alcoolorexie touche une proportion conséquente de jeunes. Ces derniers sont susceptibles d’être plus vulnérables, car leur cerveau se développe jusqu’à l’âge de 25-30 ans. Les conséquences négatives peuvent les suivre tout au long de leur vie, même un seul épisode de consommation excessive d’alcool, à jeun ou non, peut causer des effets neurotoxiques. Boire sans manger expose également à un risque d’intoxication alcoolique, caractérisée par la confusion, des vomissements et des malaises. Les symptômes de cette intoxication peuvent également entraîner des problèmes cognitifs à court et à long terme, tels que des difficultés à se concentrer, une perte de mémoire, etc.Les personnes qui pratiquent l’alcoolorexie absorbent trois fois plus de toxines que ceux qui ont mangé.


A cause de la faible quantité de nourriture ingerée, les personnes qui pratiquent l’alcoolorexie souffrent de carences en vitamines, minéraux, protéines et glucides. Cela se traduit par une perte d’énergie, une dépression, un affaiblissement du système immunitaire…

En outre, l’alcoolorexie peut entraîner des maladies du foie et du cœur à long terme et des accidents de la route, des comportements agressifs et dangereux et des conduites sexuelles inappropriées à court terme.


Plus inquiétant encore, ce type de pratique est principalement pratiqué par des femmes qui sont plus à risque de souffrir des effets néfastes de l’abus d’alcool que les hommes, car elles métabolisent l’alcool moins efficacement en raison de la faible quantité d’eau dans leur corps.

Les jeunes femmes ont plus de tissus adipeux dans leur organisme, ce qui entraîne un stockage plus aisé de l’alcool. C’est pourquoi l’alcoolorexie est considérée comme le trouble alimentaire le plus dangereux. Malgré cela, il y a des pressions sociales et des facteurs extérieurs qui encouragent les jeunes à adopter ce comportement, comme les réseaux sociaux, les magazines et le culte de la silhouette parfaite. Ces médias montrent des femmes minces, ce qui fait que les jeunes veulent les imiter et se mettent à s’affamer pour pouvoir s’habiller dans la taille la plus petite, sans se soucier de leur santé.

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Le désir d’être mince ne représente qu’une partie du problème, le marketing a réussi à rendre la consommation d’alcool très populaire. Les jeunes femmes sont encouragées à boire pour ne pas être ringardes. Cependant, cela peut avoir des effets néfastes sur leur santé mentale et physique, car des symptômes dépressifs peuvent être observés chez les personnes souffrant d’alcoolorexie.

L’influence des cercles étudiants et professionnels n’est pas à mépriser.

Les soirées d’intégration des universités et grandes écoles exercent une forte pression sur les jeunes qui se sentent contraint de consommer beaucoup d’alcool pour être accepté et perçu comme libre.

Dans le cadre professionnel, c’est en quelque sorte similaire, les nouveaux arrivants sont plus enclins à boire beaucoup lors de soirées d’intégration ou de pot de départ si ils souhaitent s’intégrer au groupe.

Par ailleurs, les soirées entre amis sont extrêmement préjudiciables.


De nombreuses protestations telles que « t’es rabat-joie », « tu casses l’ambiance » finissent souvent par pousser les jeunes filles à sauter des repas pour éviter que les calories apportées par l’alcool ne s’ajoutent pas à celles ingérées.

Ainsi, pour éviter que cela ne devienne un véritable problème de santé publique, il est primordial de remettre en cause cette culture.


5. Que peut-on faire pour s’en sortir ?

L’alcoolorexie n’est pas encore qualifiée de maladie, il n’est donc pas possible d’obtenir un diagnostic précis. Les personnes qui vivent avec cette pratique gèrent généralement bien les choses à l’extérieur. Cependant, les consultations chez les psychologues et les médecins généralistes sont fréquentes. Des symptômes tels que la dépression, les carences, la faiblesse et l’épuisement nécessitent un suivi médical. Les personnes ne sont pas conscientes des conséquences néfastes de cette pratique et pensent que la boisson et la minceur sont compatibles. Pour éviter de devoir recourir à une admission dans une structure spécialisée, il est important de ne pas boire plus de 2 verres par jour et de ne pas dépasser 4 verres en une seule soirée. De plus, il faut garder à l’esprit que l’alcool est très calorique (un verre de bière contient 145 calories).Se nourrir de façon adéquate, en limitant la consommation d’alcool et en pratiquant une activité physique régulière, associé à une alimentation variée et saine, vous permettra de ne pas prendre de poids. Évitez les produits transformés, les plats préparés et les fast-food et optez pour des fruits et légumes, des féculents complets, des légumineuses, des produits laitiers, des fruits secs et des graines. Ce régime alimentaire sain et équilibré vous permettra d’être en bonne santé et de garder la forme.Pour mettre fin à ce cycle infernal, un soutien psychologique est nécessaire. Comme pour les autres troubles alimentaires, des traitements (thérapies comportementales et cognitives, psychothérapie) peuvent aider les personnes touchées à arrêter ces mauvaises habitudes et à progresser vers une alimentation plus saine.
Les professionnels de l’addictologie et les associations mènent des initiatives pour informer les personnes et les aider à se sortir de cette situation.
L’aspect psychologique est très important car l’alcoolorexie est étroitement liée à l’image qu’on a de soi et à celle que l’on souhaite montrer aux autres.
Il faut donc du courage et une volonté forte pour s’affranchir des conventions sociales et accepter de consommer moins d’alcool, même s’il peut parfois arriver que certains vous fassent des remarques.
Vous en savez désormais plus sur l’alcoolorexie, un trouble dont il faut prendre très au sérieux et qu’il faut combattre. Prenez soin de vous et des autres !div>

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Quel est l’âge moyen des personnes souffrant d’alcoolorexie ?

Réponse:

Les personnes souffrant d’alcoolorexie ont généralement entre 18 et 35 ans.

Quels sont les principaux symptômes de l’alcoolorexie ?

Réponse:

Les principaux symptômes de l’alcoolorexie sont une consommation excessive d’alcool, une restriction alimentaire et une obsession pour le contrôle de la nourriture et du poids.

Comment l’alcoolorexie peut-elle être traitée ?

Réponse:

Le traitement de l’alcoolorexie peut inclure une thérapie cognitivo-comportementale, des médicaments et des traitements nutritionnels pour restaurer la fonction physique et mentale.